Soudain, l'envie de marcher m'aggripa. Il fesait tard, et la taverne était vide. Un silence bersait la seul bougie encore en vie. J'ouvris la porte et sortis.
Rien ne changea. Toujours le silence bersait les lumières, et elles espérait rester en vie. De tout coté j'aurais la joix de me jeter dans une immense tache d'encre, je pris à droite.
Mes pas léger frottait le sol et l'humidité, la pluie avait cessé. Pourtant les goutières continuaient à jouer, et dans se silence j'aurais presque pu m'y prendre. Mais non, la pluie avait cessé.
Des murmures se firent, fesant résistance au silence... De la vie?... Je pris sans attendre leur direction. Bientot ,déchirant le noir, une lumière jallit du fond de l'allé. Avançant à pas de chat, je reussis à être assez près pour écouter sans risque... Cela pourrait être quelque voleurs... :
"-C'est impossible, jamais je ne pourrai porter cette lettre a temps, je ne peux pas quitter mon poste.
-Désolé vieux, je suis aussi de garde, tu devrais tenter ta chance a la taverne du Chat qui danse, parait qu'y a des aventuriers la bas.
-Oui tu as raison ..."
Je soufflais, rassurer de n'avoir pas à affronter. Sentant que je pourrais prendre quelque intéret à la situation, je sortis de l'ombre et allait jusqu'au garde:
"-Qui va la? Criat-il lorsque mes pas résonnèrent dans le silence
- Moi, un simple lycanthrrrope qui accpete de rrrendrrre serrrvice.
- De rendre service?... Tu... Tu... La lettre? Tu srais franchement assez sympa pour la porter?
- Oui, je suis d'humeurrr à marrrcher, et je pense que grrrace à ta lettrrre, cette balade aura un autrrre gout qu'une prrromenade.
- Trop aimable à vous. Attendez, Il va falloir la remettre à une jeune femme du nom de Gwenaelle dans la ville de Hergual au nord de la croisé. Vous savez où c'est?
- Non, mais je suppose que vous si.
- Ouais, sans blague que je sais. Enfin bref, j'prend un papier et j'vous note comment, même si c'est à la porter du premier cretin." Il grifona sur un papier des mots, puis me tendit la lettre et le papier des deux mains.
"- Vla, vous avez tout, encore merci vieux, j'oublirais pas.
- Si, oubliez moi."
Je me retournais et repartis à l'abri, dans l'encre de la nuit. J'allais jusqu'a la prochaine lumière solitaire et dépliais le papier:" Pour aller jusqu'a Hergual, d'abord tu sors par le nord, après l'allée des herbes, tu suis alors le chemin, tu entrera dans une forêt, de la tu t'arrètes pas et tu va jusqu'a une clairière. La te gourre pas, prend le chemin de droite, au nord tu te mange un pont brisé. Après quoi ta pu qu'a suivre et tu finiras par y arriver." ... Voila qui parait simple, bon direction le nord!... Jetant un dernier regard sur la bougie vacillante, je pris la direction du nord.
Marchant lentement, longeant les portes et fenètres fermées, rien ne semblait vouloir exister, le noir de chaque maison rapellait le silence que vivait chaque habitants. Et moi j'avançais, emportant avec moi la dernière conscience éveiller, seul restait les êtres fuyant de la nuit. Les glissements des rats courant en tout sens créaient une rumeur , et la nuit devint une harmonie. Pur harmonie de son vague et de silouhette imprésice . Bientot, la forme de l'allée marchande se dessina:
"Ton fric! Ta compris le vioc? Ton fric et maintenat"... Qui? Ou? De l'allée marchande... Au fond de l'allée, deux ombre, l'une s'agitait, l'autre subissait. La pureté de la nuit venait d'être brissé, et il n'en fallait pas plus pour faire payer... Que l'on vole, voir tue, peut passer, mais detruire ma soirée... L'ombre brandit son poing et l'habatit, et un bruit de terreur retentit. L'autre peinait, se relevait, pas besion de voir pour savoir qu'il ne durerait pas.
Alors je m'élance, et avec moi tout ce qui peut me bloquer. Tout s'envole, et l'ombre se retourne, il panique, n'arrive pas à voir le danger... Tu n'es pas bien malin... Je sors ma dague, et la lune reflète par millier, un instant la lumière fut. Cela est fait, il m'a vut, mais trop tard: "etreinte du cadavre"... tu ne bougeras plus... Je suis face à lui, et ma dague plonge en son bras. Il titube et hurle, mais rien n'est fini... Allez jusqu'a la fin... La douleur et les mains de morts l'empèche d'agir, je l'attrape à la gorge: "toucher du cadavre". Il s'arrète. Ses bras retombent , et sa tête chute sans art. Je retire ma dague de son bras et repart... Le vendeur, c'est celui qui me fournit les herbes pour mes onguents, j'aurais perdu plus qu'une nuit...
J'emjambeais les multiples objets tombés, massacrais les plantes et écrasais les herbes qui avait chutté. Le vendeur se redressa, puis jeta un regard sur le mort:
"-Ah! Par les dieux! C'est... c'est horrible! Il est "... L'imbécile... Je fis volte face et criais:
"-Morrrt. Vous ou lui? Ne vous moquez pas de moi, c'etait vous. Vous vouliez rrrester en vie, vous l'êtes. Maintenant n'hurrrlez pas pour lui, c'était un bandit, et il allait vous arrracher la vie." Il se tut. Je repris alors mon chemin, lentement. Le temp, je l'avais.
Le silence revint, il ne restait que les murmures de la nuit. Je passais sur un pont, et pouvais voir l'eau entre les planches qui jouait au miroir. La lune guidait mes pas, et éclairé de sa sombre lumière les ombres. Sous moi j'entendis un faible rire... Un couple sous le pont, je ne vous gènerais pas longtemp... Je quittais enfin la ville... Au nord a-t-il dit... Et je partis vers le nord. Le vent sifflait l'herbe et les branches mimaient des horreurs. Moi au milieu de tout cela, je fesais tache d'encre sur papier blanc... Ne suis-je pas en train de détruire la nuit?... Les caillous glissait sous mes pieds, je me courbais pour voir dessous... Rien, juste des pierres; pierres des justes, pierres avec un coeur... Un instant la lune pointa son ondes sur un renard, et son pelache devint d'argent. La vie ne s'arrétais jamais, et je ne cessais de marcher.
J'entrais dans la foret. La nuit changea, L'obscurité de la ville revint, et les arbres immitaient les goutières, une fine pluie artificiel baignait les lieux. Un monde en soit. Mes empreintes se marquait dans la terre, et l'eau m'obligeait à cligner des yeux. Le chemin se rétrésisait au fur et à mesure que j'avançais, les arbres voulant conservé leur secret. Cependant cela ne me causa aucun soucis, ne gèna pas ma marche et bientot j'atteignis une clairière.
Large, telle un oasis du désert, elle naissait et mourrait sans raison. Telle une dune avançant peu a peu chaque seconde, elle finirait par battre la foret ou disparaitre... Le combat ne s'arrète pas... En ce qui etait son milieu, une statue se mortifiait. Envahi de fleur, d'herbe et de racine elle s'abandonnait lentement à la nature... Un homme? que fait une statue d'un homme aussi banal ici... L'homme était à genoux, les yeux rivés sur le ciel, la bouche et les bras laissés à l'abandon. Il semblait implorer. Et il implorait dans une clairière, seul, avec comme unique compagnie l'herbe... Pauvre imbécile... Je m'en approchais, curieux de voir excatement à quoi il ressemblait. Une des racines bougea... La vie n'est la où on ne l'attend pas... Ma marche se fit plus lentes, et mon regard cherchait au sol aidé de la lune... Qu'etait-ce?... Et la vérité me sauta dessus.
Un long trait vert bondit, et me rata. La longue tiche tomba sur le sol et se faufila, l'herbe la cachait... Il faut que je vois ce machin pour l'immobilisé... Un temp passa, je tournais lentement sur moi même, regardant à mes pieds. Seul se mouvait l'herbe sous le fouet du vent, mais rien ne se révélait... Peut être partie? J'en doute... Quelque part me scrutait la créature, attendant que je m'affaise. Et, telle la mort face à moi, je le vis, le serpent. Il s'arrèta. Il comprenait, il savait. Son histoire , sa vie allait se terminé... Bientot tu ne sera plus que des écailles vides... "Etreinte du cadavre" La main apparut et il fut prisonnier. Elle se sera, je n'eux plus qu'a marcher jusqu'a lui, et à lui planter ma dague. Au moment où je frappais, ses yeux se fermerent, et je crus voir un sourire... Nous sourions tous à la mort; peut être... Le dangé disparut, j'allais jusqu'a la statue. Dessus, gravé à même la matière, il était écrit: "Esclave, ne maudisons pas la vie". Je me détournais alors de la pierre, puis pris le chemin à droite et rentrai à nouveau dans la foret.
La nuit redevint plus noir, mais plus d'eau sur les arbres, tout était à mes pieds. Et bientot le chemin reprit la direction du nord. A un carrefour,
deux panneaux indiquait les directions, celui de Hergual pourrisant était présent... Tout finit par s'éclairer... Alors tout devint monotone, le chemin, les arbres, partout les même. Juste le siflement du vent fluctuait et il me fallut peu de temp pour laissé derrière moi la foret. Une grande plaine s'étalait devant mon regard, et en son centre une ville. De la je pouvais voir la pencarte de la ville qui se situait à l'entré. Marqué dans de large lettre:" Hergual". Dans mon dos le soleil, horrible, brisa la nuit et tira ses rayons de chaleur par millier, le jour se levait, l'aurore commençant ne durerait pas et j'allais être bruler vif au retour. Un garde se tenait sous la pencarte.
"- Excusez moi garde, mais je cherrrche Gwenaelle, savez vous où est-elle?
- Sans rire que je le sais! Et c'est pourtant pas bien compliqué! Le premier batiment à gauche au carrefour.
- Merrrci."
Deja d'innombrable bruit naquirent. Partout les fenètres, les portes s'ouvrait et la vie se levait. Je souriais ...tant de vie, tant de mort, tant de cycle que je m'amuse à dérégler... Et sans attendre les rues se remplirent. De toutes les maisons, l'enorme fourmillièrent humaine sortait continuer son chemin, oubliant que pendant la nuit nombre vies étaient tombées. J'esquivais les gens, me créais une route dans la foule pour arriver jusqu'au premier carrefour. De la je frappais à la porte de la première maison à gauche...Continuer... Une femme ouvrit:
"-Oui?
- Tenez, c'est pour vous."