Slévas marchant sans but précis autre qu'éviter le plus possible la lumière du soleil, entendit par hasard une conversation entre deux garde :
"-C'est impossible jamais je ne pourrai porter cette lettre a temps, je ne peux pas quitter mon poste.
-Désolé vieux, je suis aussi de garde, tu devrais tenter ta chance a la taverne du Chat qui danse parait qu'il y a des aventuriers la bas.
-Oui tu as raison ..."
Slévas manquant cruellement d'argent se résigna a s'abaisser a proposé ses service, le garde trop heureux accepta sans hésité ni discuté du prix ... il aurait sans doute du.
Apres avoir récupéré le papier que le garde venait de signé en échange de la lettre, Slévas se mit en route, la nuit tombait c'était le meilleur moment pour voyager.
Slévas marchait déjà depuis quelque heures lorsqu'un homme le héla, complètement indiffèrent il continua son chemin, l'homme le rattrapa se campa devant lui et tirant son épée prononça la sentence :
"-Donne moi tous tes objet de valeur si tu tien a la vie!"
Levant la tête Slévas fixa l'homme dans les yeux et lentement tira sa maigre bourse de la main gauche, tendit que de la main droite il incantait le plus discrètement possible.
Lorsque l'homme s'approcha de Slévas pour lui voler sa bourse celui-ci posa sa main droite sur son visage, il senti les paupière fondre sous sa paume et se délecta autant de la vie qu'il aspirait que de la souffrance que l'homme ressentait, sous cette souffrance l'homme fit tout pour se débattre et Slévas du puisé dans la vie volé pour soigné son torse qui venait d'être tailladé d'un coup d'épée a l'aveugle avant de perdre trop de sang.
Lorsque Slévas eu finit de savourer la vie du voleur il s'attaqua a une nourriture plus matériel. Malheureusement il dut se contenté de la chair et des pièces aucun Os ne rejoint sa collection cette nuit, les os de voleurs n'apportent rien si au moins il avait été pilleur de tombes ...
Slévas repris son chemin l'esprit et le corps reput il marchât d'un bon pas et ne rencontra d'autre problème avant le bois qui entoure Hergual.
Lorsqu'il pénétra dans celui-ci il entendit les sifflements de souffrance d'un reptile, il s'approcha de la source du bruit et se retrouva devant un nid de serpent a la lisière d'une superbe clairière, mais la situation était particulière deux serpents se battait, sans doute la mère protégeant ses oeufs et un prédateur mourant de faim.
Slévas tira sont épée les serpents encore occupé a se battre ne firent pas attention a lui avant que l'un deux ne fut coupé en deux, le second se dressa de toute sa hauteur sifflent de rage dans le but d'impressionner sont opposant.
Slévas sur ses gardes lança son sort d'étreinte des morts avant de tué le serpent survivant.
Slévas marchait d'un bon pas vers le ville il arrivait a la porte de celle-ci les gardes le suivirent de yeux mais ne firent rien pour l'empêcher de passer, arrivé a la demeure que le garde lui avais indiqué il déposa la lettre sous la porte et s'en fut, que lui importait la réaction de la destinatrice? Il avait remplit sa part du marché et il pourrait maintenant a tous moment disposé de la part du garde souriant a cette pensé il replongea dans la nuit et siffla tendrement sentant l'intérieur des oeufs, qu'il avait mit dans la poche intérieur de sa robe contre son coeur qui ne battait déjà presque plus, bougé. Cette nuit avait réellement été excellente.
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