Les phrase entre des point de suspention (...xxxxx...) sont les phrase pensé par mon personnage au moment du recit
Ma direction prise, je m'etais mis en marche, et d'un pas lent avait parcourue une bonne distance lorsque je tombai nez-a-nez avec une cabane.
Elle etait vieille et avait connu tout les maux du temps, mais semblait encore habité. Pourtant, tombant de fatigue, je me dis qu'il serait sage de ma part de l'utilise comme abri pour dormir.
Mon pied n'avait meme pas bougé qu'une voix enrouée me dit:"Holâ Voyageur!" . Je me retournai, et vit un vieillard tout souriant. Un bonheur incroyable se dessinait sur son visage, ma venue l'avait rendu heureux. Ce bonheur ne l'empêcha pas de parler:
"-Qu'est-ce que tu viens faile sul les telles du vieux Gildas?
-Absolument rrrien. Disons que je me prrromène, et que cette excerrrcise m'a fatigué. Pourrais-je dormir dans votre tas de bois?
-Oui, si deja tu ne l'appeles plus "tas de bois" et que tu me lende un ptit selvice.
-Dit toujourrrs, je me sens l'âme aimable.
-J'avais huit poulets, des beaux ptits poulets, mais je sais pas quand, ya une sale bete qui m'a bousillé mon enclot et les a tous foutu dehols.
Je t'accepte dans ma cabane si tu les retlouves, et tous!"
Je baissais les yeux et me mis a reflechir: huit poulet, pourquoi ne pas les manger! Je regardai de nouveau le vieillard, puis me retournai pour voir la cabane... Non, il faut vraiment que je dorme...
"-Bah... Tu les aurrras tes poulets, et tous je te l'assurrre, mais garrranti moi une chose: si par malheurrr, certain des poulets sont morrrts, et cela sans ma faute, tu tiendrrras quand meme ta prrromesse!
-Molbleu! J'lespele po, mais s'est entendue.
-Ah! Et pouvez-vous me donner une corrrde pour attaché les poulets ainsi qu'un gourrrdin pour me defendre?
-Hum, je dois avoil sa, attendez je leviens"
Retrouver huit poulets alors qu'un broulliard dominait l'horizon, sans grand moyen de pisté, et avec une neige qui dominait la terre, me voila bien avancé! Malgré tout, il me fallait un point de depart, j'allais donc a l'enclot et l'inspectai. La petite porte qui le fermait avait été reduite en miette par de nombreux coups, telle un prisonnier cherchant a ce libéré, mais ce n'etait pas un homme, assurement, car la seul arme utilisée etait les crocs.
L'homme revint et me donna une corde, qui etait dans le meme etat que la cabane, et au fond, la corde et la vieillard etait dans le meme etat que la cabane. Le gourdin lui etait plutot ressent, il devait s'en tailler assez courament pour se defendre.
Quelque chose tomba avec légereté sur mon epaule, lentement, ma main monta jusqu'a elle et prit l'objet. C'etait une plume de poule. Levant les yeux vers l'endroit d'ou etait tombé la plume, je vis un petit ecureuil tenant et jouant avec d'autre d'entre elle. Assurement, elles avaient pris la fuite en courant en tout sens, et avait perdu de nombreuse de leurs plumes, ce qui semblait rendre bien heureux notre ecureuil qui ne fesait guere attention a moi. Malgré tout, son regard fini par croisé le mien, et succombant a un vent de panique , il lacha ces plumes qui floterrent en tous sens, fit un bond sur la branche la plus lointaine, et ce mit a grimpé, esperant que la hauteur fut son sauveur. Je n'avais pas bougé les yeux. Les plumes finirent leur chute, je les baissais alors pour les voir, et vu que d'autre etait toujours la, a même la neige, n'ayant pas bougé depuis qu'elles avait quitté leur corps respectif, accompagné de tache de sang.
Ces plumes et ce sang etaient les pierres du petit poucet, et je n'avais qu'a les suivre pour retrouvé mes disparus. Ce que je fis, mais, tres vite, les plumes et le sang se separait en deux directions et j'etais contraint de choisir un chemin. J'en pris un, celui ou les plumes etait les moin nombreuse, une solitaire, peut etre une âme semblable a la mienne. Malheuresement, au bout de quelque pas, je trouvais le corps, mais pas l'âme, elle avait été arraché par des crocs. La poule gisait morte, le sang et les entrailles s'etalant sans fin et fesant une sublime toile sur la neige...sublime, le sang, les entrailles, une plaine de sang, une fleur d'entrailles... Je bougeais ma tete...Qu'etait-ce , ces pensé? Ces images? La fatigue surement...
Je pris le poulet, ou plutot ce qu'il en restait, par les pattes et l'enroulai dans la corde. Quelque chose me troublais, si cette animal l'avait tué, pourquoi ne l'avait-il pas dévoré? Les animaux tue pour se nourrir, pas pour leur plaisir. Je revins sur mes pas.
Arrivé au croisement de la volaille, je pris une Troisieme direction, la seconde et derniere de ce carefour, marcha sur une petite distance, et à nouveau cette direction deboucha sur un croisement, et cela de trois autre parcours à plume et à sang. J'optais pour l'un d'eux, au hasard. La marche la encore fut courte, et je tombais à nouveau sur des cadavres de poulets, 2 pour etre precis, la encore le combat n'avait été que dans un sens, les poulets n'avaient rien fait, si au moin ils savaient volé, mais non, Trop bete pour apprendre... rien fait pourtant une dague en plein coeur, il saura tout sans avoir appris...Decidement j'ai besion de sommeil... Je remarquais alors que mes pieds etaient trempés de sang, d'un sang sec, surement celui des poulets. Du moin je l'esperais. Je pris les poulets et les attachaient à la corde avec ces compagnons morts, et contai y attacher le tueur au meme titre que les poulets.
Je revins sur mes pas et ,arrivé au croisement, m'arrêtais. Face à moi un sanglier adulte, "une belle bete" comme aurait dit un chasseur. Le probleme était que je n'étais pas un chasseur, et que je ce n'était pas ce que je cherchais. les blessures des poulets n'aurait jamais pu etre causé par un sanglier. Il me fixait. Son regard en alerte exprimait la sensation du danger, il se sentait menacé, et ce sentiment se renforcait en observant l'expression de mon regard... c'etait la même. Ni lui, ni moi ne firent de pas, nous étions l'un face a l'autre, nous scrutant, attendant que l'un bouge pour l'autre agisse. Lui, Il se mit a souffler bruiament et a racler la terre, moi je commencai a murmurer une incantation et a me retracter.
Mon incantation se finissat, je ne voyais plus mes mains, elles était entourées de l'aura noir de la mort, il fallait agir ou mon sort repartirait pour le neant. Aussitot je hurle, l'animal prit de peur s'elance, foncant tête baissé sur moi, telle un berserker, je projète mes mains en avant, lancant l'"etreinte du cadavre", les mains enlacent ces jambes, stoppant sa course et le fesant tomber. Je m'avance jusqu'a lui, pose ma main autour de son cou, et laisse s'infiltré la mort en lui:"Toucher du cadavre".
Puis pour etre sur qu'il ne soit plus mon probleme mais mon outil, je le frappe avec mon gourdin sur la gueule, le gourdin se brisse en meme temp que ses os, une plait s'est ouverte d'où en sort du sang.
Alors que tout a l'heure le sanglier etait superbe, il était desormais horrible, ma touché lui avait pourrit le coup, et l'etat de sa gueule était monstrueux, assis a mes cotés, cela aurait été une autre belle peinture.
Vu la force de la bète, cela serait dommage de la laissé ainsi, sans lui permettre une ultime expression. Je lancai "manipulation de cadavre" et en fis mon serviteur.
Je me levai, et pris le prochain chemin designé par les plumes et le sang. A son bout, le même spectacle qu'avant. Un poulet mort dechiqueté de toute part, même les plus grands pretes et druides n'aurait rien pu y faire, ils etaient definitivement mort. J'attachai le nouveau venu à ma corde, revins sur mes pas, et pris l'ultime chemin.
La distance, la, fut plus grande, et surtout, le nombre de plume et de tache de sang au sol diminuait, mais etrangement, il y en avait de plus en plus sur les arbres. ...Les poules aurait appris à volé?... Cela me parut certain lorsque je tombai, avec mon sanglier mort-vivant, sur une scene particuliere: Un loup, bavant et avec des yeux rouges sang, tentait de toutes ses forces de grimper a un arbe, et pourquoi? Et bien parce que sur la premiere branche de cette arbre, qui se trouvait bien a deux metres cinquante centimètre du sol, etaient en ligne droite quatres poulets, fesant tout leur possible pour ne pas tombés. Le loup , qui me sembla enragé, n'avait pas l'air de comprendre qu'il ne pourrait y arrivé, et recommencait sans fin son effort, son supplice, un comportement digne des punitions antiques.
La pauvre bete avec laquel j'avais un lien de parenté me fis un peu pitié, et cela me fesais une raison de plus de le tuer. Le libéré de son mal pour recuperer ces poulets, telle etait ma priorité. Ma reflexion sur la methode a prendre ne fut pas longue, et j'ordonna a mon sanglier de s'élancer sur la bete avec toute la force qu'il possédait. Le loup n'eut pas assez de temp pour comprendre, le sanglier lui avait deja ecraser son ventre contre l'arbe, et le continuait encore et encore, avec ses cornes toujours plus rouges. Bien vite l'arbre fut couvert de sang, et passa d'un blanc pur a un rouge au mille nuance.
Mais en plus de mettre débarassé du loup, le sanglier reussit la où il avait echoué. A force de frapper contre l'arbre, les poulets etaient tous tombé dans la neige, je m'avanca jusqu'a eux et les pris. Terrorisées au possible, n'osant plus bougé, cela ne fut pas dur, le sanglier m'avait tout simplifié. Je le remerciais en le renvoyant a la mort et parti jusqu'a la cabane du vieille homme avec ces huit poulets dont la moitié en vie, et une tete de loup.
"-Eh bien, salop de loup! Excusez moi, je sais que vous avez des liens de palentés, mais quand meme, me leste plus que la moitié de mes poulets! salop!
-J'en suis desolé, mais remarqué, les quatre vivant ont appris a volé! c'est une evolution majeurrr pour cette rrrace. Par contrrre, pourrrrrais-je allez me couché? J'ai fait ce que vous vouliez, alors...
-Va va! Melci quand même...et tu as vlaiment une dlole de maniele de dile les L."