Le soleil était a son zenith, et je mourrais brulé vif par ces rayons... Soleil, insensible froide boule de chaleur, tu te moquera donc toujours de nos malheurs?... Je cherchai alors un abris où me cacher du mauvais temp, et le trouvais dans une longue allée marchande: l'allée des herboristes. Les plantes étend de toutes les regions du monde, certaine ne supporté pas aussi bien la chaleur que d'autre, et il avait été donc nécessaire de mettre une gigantesque bache pour mon plus grand bonheur et celle des plantes... Et si je cherchais de quoi faire des onguents?... Décidé, je m'engageais alors dans les multiples passages de l'allée. Fesant jouer leur flutes de chairs, les multiples vendeurs cherchaient à me charmer, sans jamais brisé le silence qui semblait imposé par ce cimetierre vert. Je fini par trouver un étalage qui ,lui, réussit la où les vendeurs échouaient... Voila exactement ce qu'il me faut, magnifique... Je me penchais alors sur l'étalage quand une personne s'approcha de moi:
"Voyageur, si tu cherches du travail, j'ai un boulot pour toi!"
Je continuais de regardé les divers plantes étalé, espérant faire diverger son attention par mon silence... Je n'ai vraiment pas envie d'aider qui que se soit... Mais rien n'y fit, il continua:
"Voilà, je dois faire un bouquet pour le mariage de ma soeur. Seulement, il me manque une Fleur de Soleil pour complèter le bouquet. Si tu allais m'en chercher une daens les collines à l'Est de la ville, je t'offrirais ceci."
Il sortit alors de sa poche une bourse qu'il ouvrit et me montra ce qu'il y avait dedans du doigt:
" Tu sais ce que c'est , n'est-ce pas? C'est de la poudre de carry. Avales la avec ton repas avant ta quète et tu pourras utiliser tes techniques une fois de plus qu'à la normale."
Je me redressais, ce nouvelle élément qui venait de chutter fit lourdement pencher la balance... L'envie d'aider me revient, comme c'est étrange... Je sortis alors de mon silence:
" Bien, je vais cherrrché ta fleurrr, dit moi juste ou je pourrrais la trrrouvé.
- En hauteur, proche d'un arbre mort, je sais, cela est paradoxale.
- Pas forrrcement, le soleil peut tuer"
Je m'en allais alors de l'allée, et partis vers la sortie de la ville la plus proche. Arrivé sur les routes allant et partant de la croisé, je m'écartais de la voix de pierre pour entré dans les vastes collines de la croisée, et partis à l'ouest, guider uniquement par le néant... Un arbre mort, sur une colline; heuresement que ce n'est pas dans l'antre d'un dragon au plus haut d'une montagne de givre, mais tout de même! Il y a plus simple... Le soleil commencait à retombé, et mon corps a refroidir, je remerciais la terre de tourné et la journée de disparaitre. L'herbe et mes poils obéissaient aux vent naissant, et formaient des reliefs de collines... Mais où aller?... Celle qui m'entouraient étaient sans fin, et seul les arbres semblaient être capable de les arréter.
Pourtant, une tache noir faisait de la résistance . Dans le lointain, un espoir naquit , je marchais alors vers lui. La tache devint un point, puis une silouhette et enfin une maison. Son isolement me rappelai Gildas... Un des seul souvenirs que je possède... Je frappais à la porte, le bois craqua sous mes faibles coups, et les murs donnaient l'impressions de trembler... Il n'y a pas que l'isolement qui fait pensé à Gildas... Un vieillard ouvrit la porte, et me sourit grace a une bouche sans dent.
" Bonjourrr vieille homme, je vais vous poser une question, tacher d'y rrrépondre:y a t'il un arrrbre morrrt dans la rrrégion?
- Tu ne manque pas de manièfe, mais tes jeune, jte pardonne, donc un afbfe moft? Hum... Oui! Plein ouest mon jeune loup!
- Je te remerrrcie"
Je partis ainsi pour l'ouest... Et s'il m'avait mentie? Et bien j'aurais perdu mon temp... Ma marche dura un moment. Je ne rencontrais rien sur mon chemin, sauf des buissons pauvres de leur feuilles et des lapins qui partaient en hate en me voyant. Le calme me berça et je m'arrètais un moment pour comtempler, la plénitude s'installa en moi... Ce monde de silence, tellement beau; tout sera de silence, et moi surtout; De silence? A quoi je pense?... Finalement, l'arbre se dessina sur l'horizon, il m'apparasait minuscule, mais se trouvait belle et bien sur une colline, et devenait une tache d'encre sur l'horizon du soleil couchant.
Enfin j'étais face à l'arbre, grand et massif, mais mort. Gardien sans sommeil et sans vie d'une petite lumière délicate qui naissait entre ses racines et montrait la vie la où on ne voyait que la mort. Je me penchais sur cette lumière, écartais les racines qui faisait mur et... C'est une fausse! La fleur est fausse! Que cela veut-il dire?... Le tissue froid me glaca, je me relevais et l'arbre m'apparut sans fin... Il s'est foutu de moi, mais pourquoi?... La reponse vint à moi, sautant de derrière l'arbre, un gnome armé d'une épée courte se precipita sur moi.
Je mes mon bras devant moi, sa lame le transperce, et nous tombons à la renverse. Je m'ecrase durement contre les racines... Ce cretin n'a pas tenu sa lame pendant la chute... Le gnome ,lui, a la tête écrasée sur les racines, je retire la lame de mon bras, d'ou en jallit un filet de sang. Je mes ma main sur la plait et m'avance jusqu'a lui... Tu commence à remuer?... Je lui attrape la nuque et "Toucher du cadavre". Ma plaie se referme pendant que sa nuque devient molle comme de la gelatine. Je pousse un soupire... De peu... "Sphère de Flamme"... Dans mon dos! son coéquipier... Je fais volte-face en tenant en avant le cadavre du guerrier, la sphère explose et il s'embrasse, je le jète. Le mage, les yeux grands ouvert, incapable de bouger: "Non!". Il tombe à genou, le regard vide... Dommage que tu l'aimais... Je m'avance vers lui, son regard de haine me supplit, je sors ma dague et lui ouvre la gorge... Cretin! comme si il désirait que tu meurs!... Le corps du mage tombe, nul besion de regarder pour voir son sourire, il goute un moment de liberté avant de sombrer, et l'arbre devient le soleil couchant. Je m'accroupie et fouille son manteau.
Je finis par trouver un papier lourd de sang, il y etait ecrit:
" Un être viendra, qui sera n'a pas d'importance. Je vous demande uniquement de le tuer, de le piller et lorsqu'il sera vidé, vous l'enterrerez et ,comme cadeau, vous me donnerez tout excepté vos vies. Sinon vous connaisez la sanction. Je viendrais à la tomber de la nuit." ... Je ne suis pas un ange, mais lui est un vrai diable... L'identité ne faisait aucun doute, l'homme qui m'avait confié cette mission m'avait introduit dans son système. Malheuresement, j'avais tout déréglé et il se retrouvais avec deux cadavres... Attendons le...
Je me cachais derrière l'arbre et attendis la nuit. Le soleil voilé, on put commencer à distinguer une silouhette approcher. Ses pas lent de loup m'amusait... s'il savait qui est la proie... Arrivé à l'arbre, il butta contre le guerrier:
" Putain! Mais les... pas foutu de crever une boule de poile! Mais... je n'en reviens pas! Cette imbécile de mage a tuer son ami! Quel tragédie, dit-il en riant, puis il se pencha. Il y a du sang ici, et il n'est pas le même que celui du mage...
- C'est le mien"
Debout devant lui, je le dominais, sans voir ces yeux, j'etais sur de sa panique. Il ne se battait pas, il manipulait pour que cela soit les autres. Mais aujourd'hui il était au devant de la scène, et son acte final sonna. La nature, grand metteur en scène, mit le vent, puis la pluie. Rien ne se passa, il ne sentit plus son corps, car il m'appartenait déja.
" Es tu prrret?
- Attend! On peut faire autr... Le mot se perdit entre le sang et la lame, ma dague enfoncé dans sa gorge, rien ne pouvait plus rien changé. Un sourire me vint. Je m'asseyais face à l'agonie, lui se secoua, arracha la lame, puis courut et tomba à plat. La terre sera fertile, et cette arbre renaitra, en même temp que ces cadavres se fondront... Trois imbècile pour un arbre, c'est cher payer... Je me levais et allais jusqu'au nouveau mort. Le retournant, je pillais le pilleure et pris ce qui m'intéressait: sa poudre. Pour l'instant, la terre n'était que le reflet de la lune. Je me tournais alors vers la croisée, respirais un grand bole de vie et partis.